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En Baie de Somme, les éleveurs misent sur le mouton à cinq pattes pour Pâques !
Depuis le XVe siècle, les moutons de la Baie de Somme arpentent fièrement les prés-salés, sculptant le paysage de l’une des plus belles baies du monde. Mais cette année, un vent de révolution souffle sur l'élevage ovin local : les bergers ont décidé de miser sur des moutons à cinq pattes.
Depuis le XVe siècle, les moutons de la Baie de Somme arpentent fièrement les prés-salés, sculptant le paysage de l’une des plus belles baies du monde. Mais cette année, un vent de révolution souffle sur l'élevage ovin local : les bergers ont décidé de miser sur des moutons à cinq pattes.

L'idée peut sembler farfelue*, mais les éleveurs l'assurent : « Le monde change, nous devons nous adapter ! » explique Jean-Bernard Mouton, berger depuis trois générations. « Pourquoi se limiter à quatre pattes quand on peut en avoir cinq ?! » Un projet audacieux, qui s'inscrit dans une logique économique et touristique.
Un attrait pour les visiteurs et un défi scientifique
Avec Pâques en ligne de mire, la Baie de Somme espère attirer les curieux du monde entier. « Imaginez le potentiel marketing : des moutons à cinq pattes, c'est du jamais vu ! » se félicite le président de l'Office de Tourisme. « Nous allons organiser des visites guidées spéciales pour observer ces merveilles de la nature. » Toutefois, la génétique n'est pas une science exacte et la mise au point de ces ovins hors normes a demandé des années de recherche. "Nous avons longtemps travaillé sur les croisements idéaux pour favoriser la pousse d'une patte supplémentaire," déclare le Dr Gaston Bélier, généticien. Le résultat est à la hauteur de nos espérances : un mouton plus équilibré, plus agile et plus surprenant."
Une viande d'exception et des questions éthiques
Les restaurateurs locaux s'enthousiasment déjà pour ce nouvel arrivant au menu. « Avec une patte de plus, c'est plus de gigot !» plaisante Pierre Rôti, chef à l'auberge du Bélier Doré. Mais cette innovation n’est pas sans controverse. Des associations de protection animale s'interrogent sur les conditions d'élevage de ces moutons inédits. « A-t-on demandé leur avis aux moutons ? », s'indigne une militante de la Ligue de Protection des Ovins Libres (LPOL).
Un avenir à six pattes ?
Alors que la Baie de Somme s'apprête à accueillir ses premiers visiteurs venus admirer ces nouveaux pensionnaires des Mollières, les éleveurs ne comptent pas s'arrêter là. « Pourquoi pas un mouton à six pattes l'an prochain ? » glisse un berger avec malice. Affaire à suivre !
*Texte écrit avec l'aide de l'IA générative