L’eau, premier sujet d’inquiétude pour la filière pommes de terre
Depuis le 19 juillet, les bassins Somme-amont et Somme-aval sont en état de vigilance renforcée sécheresse, tandis que celui de l’Avre est passé en état d’alerte renforcée, avec des restrictions de volumes d’eau pour les irrigants. Pour la profession, il est urgent de trouver des solutions pour pérenniser la filière.
Depuis le 19 juillet, les bassins Somme-amont et Somme-aval sont en état de vigilance renforcée sécheresse, tandis que celui de l’Avre est passé en état d’alerte renforcée, avec des restrictions de volumes d’eau pour les irrigants. Pour la profession, il est urgent de trouver des solutions pour pérenniser la filière.
Les irrigants sont de plus en plus nombreux, avec une part du gâteau qui diminue. C’est le constat que fait Guillaume Lidon, directeur de l’UNPT (Union nationale des producteurs de pommes de terre). «Les restrictions d’eau qui sont imposées selon les arrêtés-cadre rendent la production compliquée. Mais la pire crainte est une interdiction totale», note-t-il.