Les Français ont diminué de 3% leurs achats de porc frais entre 2007 et 2012
Une tendance que l’institut technique du porc (Ifip) attribue à la baisse du nombre de ménages acheteurs et au nombre des achats. Pour la charcuterie, le scénario est inverse avec une hausse de 8% de la consommation. L’Ifip ajoute que l’âge et les revenus déterminent en partie les habitudes alimentaires des Français : «les seniors et les ménages les moins aisés sont les plus grands consommateurs de porc frais et de charcuterie». Un des enjeux principaux de la filière porcine est de «rajeunir le coeur de cible» par une offre plus appropriée.