Temps de travail
Une dérogation obtenue compte tenu des conditions climatiques
En raison des conditions climatiques dégradées qui perturbent le bon déroulement des travaux des champs estivaux, une dérogation au temps de travail a été obtenue à hauteur de 72 heures pour deux semaines entre le 29 juillet et le 30 septembre.
En raison des conditions climatiques dégradées qui perturbent le bon déroulement des travaux des champs estivaux, une dérogation au temps de travail a été obtenue à hauteur de 72 heures pour deux semaines entre le 29 juillet et le 30 septembre.
En réponse à la dernière demande de dérogation à la durée maximale de travail formulée par la FRSEA Hauts-de-France, la Dreets avait octroyé, le 14 mai dernier, une dérogation à hauteur de 66 heures pour cinq semaines et 60 heures sur cinq semaines, consécutives ou non, pour les cinq départements. Par courrier du 30 juillet, La FRSEA Hauts-de-France a sollicité une dérogation additionnelle. Cette demande a été motivée par les conditions climatiques particulièrement difficiles depuis l’automne dernier avec, de surcroit, un début d’été particulièrement frais et humide qui nécessite l’achèvement rapide des récoltes de céréales, pailles, lin et légumes pour limiter la dégradation de l’état des cultures et sauvegarder la production déjà impactée. Cela fait aussi prendre du retard dans l’ensemble des chantiers à venir : épandages, déchaumages, semis de colza, semis de couverts d’interculture.