Ail et fromage, une recette culinaire miracle contre le Covid-19
Des experts agricoles ont annoncé il y a quelques jours avoir peut être trouvé une recette miracle pour éviter la contamination par le coronavirus.
Alors que le respect des gestes « barrière » - se laver les mains régulièrement du savon ou avec du gel hydroalcoolique, ne plus se serrer la main et éviter les embrassades - était jusqu'à présent la seule recommandation pour éviter la contamination par le covid-19, une nouvelle méthode amène de nombreux espoirs. En associant dans une même recette quelques morceaux de Maroilles et de l'ail du nord, on obtiendrait un plat capable de tenir à distance n'importe quel voisin trop pressé.
Cette découverte est à mettre au compte de deux experts agricoles installés dans les Hauts-de-France. Le premier, au fin fond de l'Avesnois, est éleveur de vaches laitières et producteur de Maroilles, Boulette d'Avesnes, Fort de Béthune et autre Vieux-Lille. Sa qualité d'expert ès fromages puants n'est donc plus à démontrer depuis toutes ces années qu'il en fabrique... et qu'il en mange : « Mes fromages, nous explique-t-il, c'est comme les impôts. C'est la première bouchée qui est dure à avaler. La deuxième et la troisième passent toutes seules ».
Une matière dangereuse à transporter
Le second expert est installé dans le département de la Somme, dans les terres argileuses du pays de Coquelicot et producteur d'ail depuis l'an dernier. « L'ail, j'aime bien depuis longtemps. C'est vrai que je n'ai jamais pensé à associer l'ail au Maroilles, que j'aime pourtant beaucoup aussi, mais j'ai une vie sociale que je veux garder... Maintenant, si c'est pour aider la science, je peux faire un effort ».
Les premières boîtes cartonnées contenant gousses d'ail et morceau de Maroilles doivent être acheminées dans les prochains jours dans les bonnes crémeries et épiceries de la région, après avoir fait un détour par l'Agence régionale de santé.
Restera ensuite à trouver des transporteurs prêts à assurer ces livraisons. Une question encore loin d'être réglée, nombre de chauffeurs ayant demandé une prime de risque pour transport de matières dangereuses.