Fin des quotas sucriers : les planteurs sont pour un accord interprofessionnel...
... mais avec du contenu. Dans un communiqué diffusé au lendemain de la table ronde sur le sucre du 3 novembre, la Confédération des planteurs de betteraves indique qu’elle est prête au dialogue à condition qu’il débouche sur un accord interprofessionnel national et un contrat type qui «sont des éléments essentiels de la réussite de la filière betteravière de demain». Cet accord et ce contrat doivent porter sur «l’ensemble des conditions de rémunération de la betterave». Selon le président de la CGB, Eric Lainé, le récent rapport sur la filière implique une «répartition équilibrée des risques entre planteurs et fabricants (et) la transparence dans le paiement des betteraves». La CGB s’engage à apporter sa contribution à tous les sujets abordés par les groupes de travail mis en œuvre par le ministère de l’Agriculture.