Grandes cultures
Les transformateurs de chicorées cherchent des volumes dans un contexte incertain
Alors que l’interdiction de l’utilisation de la benfluraline approche à grands pas pour la lutte contre les chénopodes en culture de chicorées, les industriels spécialisés dans cette production cherchent des volumes.
Alors que l’interdiction de l’utilisation de la benfluraline approche à grands pas pour la lutte contre les chénopodes en culture de chicorées, les industriels spécialisés dans cette production cherchent des volumes.
Qu’est-ce qui peut bien rassembler en ce moment les planteurs de chicorées à boisson, ceux de haricots verts et les producteurs de racines d’endives ? La fin programmée de l’utilisation d’une matière active appelée «benfluraline» et que l’on connait davantage sous le nom commercial de la solution qui l’intègre, le Bonalan. Lors de la dernière assemblée générale de la Confédération nationale des planteurs de chicorée à Saint-Folquin (62), le sujet a occupé une large part des discussions. Avant cela, responsables «techniques» de l’association de planteurs et représentants de l’entreprise Leroux – premier transformateur de chicorées dans les Hauts-de-France – sont revenus sur les conditions d’une campagne «particulièrement éprouvante», selon les mots de Thibaut Minne, directeur de l’usine Leroux d’Orchies (59).
Plus de surfaces en 2024 sauf…