Orges de printemps : bien protéger les feuilles pour assurer de bons calibrages
Si l’helminthosporiose domine le complexe des maladies sur les orges de printemps, des attaques précoces d’oïdium et/ou de rhynchosporiose restent possibles sur les variétés sensibles. Le point sur les stratégies fongicides à mettre en œuvre sur cette espèce.
Les dégâts dus aux maladies sur les orges de printemps sont en général atténués par la rapidité de croissance et de maturation de cette espèce. Ils sont généralement compris dans une fourchette de 0 à 15 q/ha selon les variétés. Mais il reste toujours vrai que la lutte contre les maladies contribue à un meilleur remplissage des grains, donc permet d’obtenir de meilleurs calibrages, critère majeur pour les orges brassicoles. Les orges de printemps semées à l’automne sont à surveiller, notamment vis-à-vis du risque rhynchosporiose pour des variétés sensibles.
Au sommaire de l’article :
Vigilance dès le stade épi 1 cm
Protéger la dernière feuille qui s’étale
Maximiser l’efficience des traitements fongicides
Comportement des variétés d’orges de printemps vis-à-vis de la rhynchosporiose et de l’oïdium
Exemples de programmes fongicides sur orges de printemps pour une variété peu sensible et une variété sensible
Retrouvez l’intégralité de l’article dans votre journal l’Action Agricole Picarde.