Semences : le Gnis se défend après l’émission Cash Investigation
Le Gnis (interprofession des semences et plants) s’est défendu le 19 juin après l’émission Cash Investigation, «Multinationales : hold-up sur nos fruits et légumes», la veille sur France 2. Les acteurs de la filière sont «conscients de leur responsabilité pour préserver une diversité des modèles agricoles, une diversité et une qualité de notre alimentation, et participer activement à la préservation de la biodiversité», selon un communiqué. Si le monde évolue, ses habitants et son agriculture aussi, affirme le Gnis qui «naturellement, accompagne ces évolutions». L’interprofession se dit «ouverte au dialogue avec tous les acteurs, dans toute leur diversité». Sur son site internet, le Gnis avance, par ailleurs, de «vraies réponses» sur les thèmes de l’émission comme le manque de goût et de valeur nutritionnelle des tomates, les semences hybrides, les semences anciennes non inscrites au catalogue ou encore la prétendue mainmise des multinationales sur les semences.