Contrôle laitier
Une production laitière samarienne performante mais aussi en déclin
L’Institut de l’élevage publie, avec Eliance et le CNBL, les résultats du contrôle laitier en 2022. En élevage bovin, les effectifs continuent de diminuer, mais la productivité par vache reste à peu près stable et la situation cellulaire s’améliore. La Somme fait partie du haut du tableau.
L’Institut de l’élevage publie, avec Eliance et le CNBL, les résultats du contrôle laitier en 2022. En élevage bovin, les effectifs continuent de diminuer, mais la productivité par vache reste à peu près stable et la situation cellulaire s’améliore. La Somme fait partie du haut du tableau.

Avec un recul de 6,7 % du nombre d’exploitations et de 6,6 % des lactations qualifiées (30 468 exploitations ont fourni un peu plus de 1,9 million de lactations qualifiées) la diminution des effectifs se confirment en bovin lait, en France, en 2022. En revanche, l’amélioration de la situation cellulaire qui se confirme. C’est le principal enseignement qui ressort des résultats du contrôle laitier en 2022, publiés ce mois de juillet par l’Idele (Institut de l’élevage). La Somme est en cohérence avec ces tendances. Un peu plus de 20 000 résultats y ont été récoltés.
En France, les grandes races nationales (Prim'Holstein, Montbéliarde et Normande) représentent 90,2 % (- 0,4 %) du total des lactations qualifiées. Les Prim’Holstein représentent 86 % du cheptel samarien. Viennent ensuite les croisés (8 %), les Montbéliardes (2,5 %), les Normandes (2 %), et une poignée de Jersiaises et de Brunes.