fourrages
«Je suis satisfait de sous-traiter en partie mes chantiers d’enrubannage»
Corentin Pelletier, installé en Gaec laitier avec son père à La Neuville-Vault, dans l’Oise, a fait le choix de déléguer ses chantiers d’enrubannage et ne le regrette pas.
Corentin Pelletier, installé en Gaec laitier avec son père à La Neuville-Vault, dans l’Oise, a fait le choix de déléguer ses chantiers d’enrubannage et ne le regrette pas.


C’est une exploitation de 120 ha ultraspécialisée en lait, avec une production de 1,4 million de litres de lait permise par 140 holstein dont l’alimentation est assurée par du maïs ensilage, des pulpes surpressées, des tourteaux de soja ou colza, le pâturage de 26 ha de prairies permanentes et de l’enrubannage, d’herbe ou de luzerne. «Il y a une quinzaine d’année, nous avons décidé de semer 6 hectares de luzerne sur des terres, en complémentarité de la ration, pour la teneur en fibre et la valeur protéique de l’enrubannage. Nous fauchions et andainions avant de faire appel à l’entreprise pour l’enrubannage», explique le jeune agriculteur.